Trois jours de paix et de musique. Des centaines d’hectares à parcourir. Promène-toi pendant trois jours sans voir un gratte-ciel ou un feu rouge. Fais voler un cerf-volant. Fais-toi bronzer. Cuisine toi-même tes repas et respire de l’air pur.
L’été, il fait beau, il fait chaud et on prend plaisir à passer du temps à l’extérieur. Des ballades, du vélo, des baignades, des apéros ou des repas en terrasse ; on aime à se retrouver avec sa famille ou sa tribu pour profiter d’un moment convivial sous le soleil.
Mais l’été est également la saison des festivals. Les artistes du monde entier sillonnent la planète pour nous faire vibrer lors de belles journées et soirées où ils donnent des concerts en plein air. Scènes de folie pour les artistes de grande renommée ou scènes tremplin pour des artistes moins connus qui auront la chance de faire la première partie de belles têtes d’affiche, et scènes inoubliables pour ceux qui feront leurs tout premiers pas dans la cour des grands.
Le plus souvent, les festivals ont des thématiques liées à un genre musical. Cela permet de réunir les passionnés autour de la musique qui est chère à leur coeur tout en leur proposant des artistes plus ou moins connus. C’est aussi le moment de faire écouter un style de musique à des novices qui profiteront d’une ambiance propice à la découverte.
LE PLUS GRAND FESTIVAL DE TOUS LES TEMPS !
« Trois jours de paix et de musique. Des centaines d’hectares à parcourir. Promène-toi pendant trois jours sans voir un gratte-ciel ou un feu rouge. Fais voler un cerf-volant. Fais-toi bronzer. Cuisine toi-même tes repas et respire de l’air pur. ». C’était la promesse faite par la publicité pour LE festival le plus inoubliable de tous les temps.
On a tous en tête ces images du festival WOODSTOCK, né d’un mouvement hippie, qui eu lieu l’été 69 aux États-Unis et qui a réuni près d’un demi million de personnes autour d’artistes comme : Carlos Santana, Joe Cocker, Sly and the Family Stone, Janis Joplin, The Who ou encore Jimi Hendrix. Plus que de partager de la musique c’était une réunion qui prônait la paix et l’amour. Ce festival restera sans doute le plus mémorable de l’histoire de la musique.
DES MILLIERS DE PERSONNES RÉUNIES AUTOUR DES MÊMES SCÈNES.
Moins surdimensionnés que Woodstock mais tout de même magiques, certains festivals ont une importante renommée. En France, on peut citer : Les Eurockéennes (Belfort), Les vieilles charrues (Carhaix) , Solidays (Hippodrome de Longchamp), Le Main Square Festival (Arras), Jazz à Juan (Juan les Pins), La Foire aux Vins (Colmar), Rock en Seine ( Île de France), Le Festival Interceltique (Lorient) ou encore Les Francofolies (La Rochelle).
L’engouement est tel que certains festivals réunissent des dizaines de milliers de spectateurs. Ils sont fantastiques car dotés de la capacité à créer des moments absolument uniques.
MONTRE MOI CE QUE TU ÉCOUTES…
Déformation professionnelle oblige, ici on a tendance à penser et à respirer montres et bijoux. On s’est donc demandé à quoi ressemblerait la musique si on devait la matérialiser par une montre. Et cette drôle de question (pour ne pas dire »cette question complètement farfelue ») nous a mené à cela.
Musique classique : On imagine une montre raffinée et élégante. Complètement intemporelle, son style est indémodable. Elle bat au rythme des symphonies et le temps n’a pas d’emprise sur elle. Classique et pourtant exceptionnelle.
Bach, Mozart ou Beethoven auraient sans doute aimé en porter une.
Rap et hip Hop : musiques jeunes et modernes, elles représentent une forme d’expression libre accessible à tous. La montre qui représente ces musiques est costaud, accessible ; elle a du caractère, elle est maligne et pratique. Elle a une histoire complexe, née d’une vraie volonté et s’est construite grâce à ses maux. Quoi de mieux pour matérialiser le rap et le hip-hop que la montre multifonctions la plus solide qui soit : la Casio G-Shock !
On l’a vu au poignet d’Eminem, de Chris Brown, Pharell Williams, Kayne West et autres stars américaines du monde du Hip-Hop et cela ne nous étonne pas.
Jazz et soul : Ultra classe mais pas prétentieuse. Avec une touche d’un chic incomparable. Les univers jazz et soul que j’aime associer sont simples de sophistication. Pas de chichi mais un soin tout particulier mis dans chaque détail de la montre. On l’imagine classe et vintage.
On verrait parfaitement Ben l’oncle Soul en porter une. Détail qui collerait parfaitement avec son irrésistible noeud papillon.
Electro : On l’imagine ultra moderne. Colorée mais pas trop, design, un peu loufoque et hyper originale.
On les verrait parfaitement au poignet de Paul Kalbrenner ou de Tiësto.
Rock : On imagine une montre rebelle. Légèrement surdimensionnée et de préférence noire, dire qu’elle est rock en dit long. On voit du métal (la matière pas le type de musique), et on l’imagine en cuir type bracelet de force. Pas de fioritures, pas de strass ni de paillettes.
Voilà pour notre petit tour d’horizon… Vous avez peut être déjà participé à un ou plusieurs festivals depuis le début de l’été et si ce n’est pas le cas, peut être aurez-vous le plaisir de le faire d’ici à la mi-septembre. Amusez-vous à jeter un coup d’oeil à votre poignet et à ceux des artistes sur scène pour voir si nos suppositions étaient bonnes.
